Message original de Moos | Lu 283 fois avant vous |
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Email : pierre.moos@yahoo.frPosté le 2011-05-23 12:21:24Titre : Etude généalogiqueBonjour, J\’habite la région lyonnaise et j\’ai découvert un illustre personnage de Sion en la personne du Père Marie-Fabien Moos.(1901-1977 à Lyon) Il appartient à une famille originaire d\’ Ayent. Est-ce que vous savez si quelqu\’un a fait la généalogie de cette famille? Merci de votre réponse. Cordialement. |
Réponse de Putallaz |
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Email : putallaz@hotmail.comPosté le 2011-08-11 18:43:44Titre Moos |
Monsieur,
Il se trouve que je viens de voir votre message électronique sur le site de l\’AVEG, envoyé le 23 mai 2011. Tout d\’abord, par exemple sur le moteur de recherche google, taper \ »Un Valaisan du dehors, le Père Marie-Fabien Moos\ ». Vous pourrez y lire l\’article que lui a consacré le Père Vignole, dans les Annales valaisannes de 1979. Ensuite, il se trouve que le Père Moos était l\’un de mes demi-oncles, et je l\’ai bien connu. Enfin, j\’ignore si une généalogie des Moos a été entreprise. Mais j\’ai un cousin nommé Desfayes qui a fait un travail sur sa famille et il évoque les Moos, de même que les Putallaz. Malheureusement, son travail contient quelques erreurs de dates, mais je vous communique néanmoins certains renseignements qu\’il donne: – Le géniteur du Père Marie-Fabien Moos est né à Ayent le 9 mai 1859 et il est décédé le 10 juin 1903 à Sion. Il était fils de Théodule Moos et de Marie-Romaine Fardel. Il est prénommé, selon une source, Fabien-Grégoire (dif. avec l\’article mentionné ci-dessus). – Sa mère Marie(-Julie-Antoinette-Caroline) Wirthner, originaire de Bützingen, est née à Sion le 31 décembre 1875. Elle était fille de Léon Wirthner et de Caroline Inderschmitten. Elle épousa le dénommé Moos le 13 novembre 1892 à Sion. De ce mariage naquirent sept enfants dont l\’un, Louis-Antoine, mourut à l\’âge de sept mois environ. Autres enfants: – Devenue veuve avec six enfants, Marie Wirthner épousa mon grand-père Emile Putallaz (1878-1944) et lui donna quatre enfants, mourant lors de l\’accouchement de mon oncle Joseph Putallaz en 1915. Voilà ce que je puis vous dire et j\’espère avoir répondu, au moins partiellement, à votre demande. Bonne soirée à vous. Pierre-Alain Putallaz |
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